L’année dernière, 5,8 millions d’euros avaient été collectés à l’occasion de cette action voulue par les Papes pour maintenir le lien des chrétiens du monde avec les lieux saints et leurs frères de Terre Sainte. Détaillé dans un rapport de la congrégation des Eglises orientales, le fruit de cette quête sert majoritairement à l’entretien des lieux saints, l’accueil des pèlerins et le soutien des chrétiens locaux.
« Cette année encore, la collecte pour la Terre sainte du Vendredi Saint est pour les fidèles une occasion propice de s’unir à nos frères de Terre Sainte et du Moyen-Orient, d’où le cri de milliers de personnes privées de tout, parfois même de leur propre dignité, continue à nous parvenir », écrivent les responsables de la congrégation romaine pour les Églises orientales.
Le bureau de presse du Saint-Siège a rendu public lundi 12 mars un appel aux dons signé par le cardinal Leonardo Sandri, préfet de ce dicastère, et Mgr Cyril Vasil, son secrétaire.
S’y ajoute également un compte rendu des sommes engagées les années précédentes, par pays et par type d’action.
Un lien fort avec les lieux saints
La « collecte pour la Terre sainte » provient « de la volonté des papes de maintenir un lien fort entre tous les chrétiens dans le monde et les lieux saints », rappelle ce document. Elle est « la principale source de subsistance » pour faire vivre les lieux saints, mais aussi « la communauté catholique de Terre sainte dans sa diversité », c’est-à-dire à la fois latine, gréco-melkite, maronite, copte, syrienne catholique, chaldéenne et arménienne dans l’ensemble des pays du Moyen-Orient : Jérusalem, Palestine, Israël, Jordanie, Chypre, Syrie, Liban, Égypte, Éthiopie, Érythrée, Turquie, Iran et Irak.
{…}
Source : retrouvez la suite de l’article sur le site de La Croix.