Rencontre avec les Étudiants de l’École biblique et archéologique

Le site de l’Ecole biblique et archéologique française de Jérusalem nous propose de la découvrir au travers de la rencontre avec trois de ses étudiants – Nathalie, le Père Stéphane et le Père Martin – qui terminent tous trois un séjour de recherche et d’étude. L’occasion d’un premier bilan.

logo Ecole bilique et archéologique françaisePourquoi être venu à l’École biblique ?

[Père Stéphane :] C’est à la fois la perspective d’être à Jérusalem, dans le berceau historique du judaïsme et du christianisme, l’idée de pouvoir me familiariser avec le pays pour plus tard y revenir avec des pèlerinages de mon diocèse qui m’attirait, mais aussi le fait de vivre avec d’autres biblistes et chercheurs, ce dont je ne profitais pas à Paris. J’étais heureux de pouvoir m’immerger dans ce cadre biblique.

[…]

[Père Martin :] Je tenais à passer par Jérusalem pendant mes études. Le partenariat avec le Biblicum concernait le dernier semestre d’études, ce qui, pour diverses raisons, me convenait parfaitement. Je dois aussi avouer qu’après 2 ans à Rome j’étais heureux de pouvoir à nouveau me former en français !

Je cherchais surtout l’aspect archéologique de la Terre sainte, le fait d’être sur place et de pouvoir accéder aux chercheurs, à ceux qui fouillent et connaissent les dossiers ici, plutôt que dans une salle de classe à Rome… Je voulais profiter de cette approche systématique du pays sur une longue durée, pouvoir revoir les lieux seul, les faire visiter aux gens de passage, c’était important pour moi.

 

Qu’avez vous apprécié sur place pour vos recherches ?

[Nathalie :] J’ai vraiment pu profiter de […] la proximité des professeurs, des échanges fructueux avec les visiteurs et les étudiants. Il y a toujours des chercheurs dont les sujets recoupaient le mien, tant sur le Nouveau testament que plus particulièrement sur Saint Paul. C’est unique d’avoir son bureau pour soi dans une bibliothèque si fournie. J’ai aussi apprécié la bonne ambiance interne qui permet des temps de détente et de partage, ça donne aussi du courage pour travailler.

Indirectement, la topographie m’a beaucoup apporté pour certaines choses : j’avais besoin pour ma recherche de comprendre les distances entre les lieux, les tensions à l’époque, la durée des navigations pour Saint Paul par exemple…

L’intégralité de ces rencontres sur le site de l’Ecole biblique et archéologique française de Jérusalem

 

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